Nouvelles propositions de solutions lors du groupe de travail "Digital et numérique" autour de Georges-Louis Bouchez et Maxime Prévot
Ce jeudi 27 juin 2024 après-midi, E-net a été conviée à rejoindre le groupe de travail « Digital et numérique » aux côtés de Georges-Louis Bouchez, Président du MR, et de Maxime Prévot, Président des ENGAGES. Aux côtés de plusieurs acteurs wallons, le CEO d’E-net Nicolas Pourbaix et Sacha Peiffer, Directeur Général adjoint, ont formulé 3 nouvelles solutions complémentaires, qui s’ajoutent aux 10 contributions qui avaient déjà été évaluées par l’ensemble des partis politiques francophones. Parmi les acteurs présents, il y avait également l'Agence du Numérique, Technofutur TIC, BeCode, Molengeek, ISPA, KIKK, Fondation pour l’inclusion digitale, ARC (association fracture numérique), Conseil du numérique, Bel Net, VGFB, Google, Technord, Odoo, Agoria et DigitAll.
La nouvelle coalition MR – LES ENGAGES se fixe l’objectif de « Moderniser et donner un nouvel élan à la Wallonie et à la Fédération Wallonie-Bruxelles en adoptant les réformes prioritaires pour leur redressement socio-économique et pour réussir les transitions au bénéfice de tous les citoyens et des générations futures. »
Deux réalités de terrain observées par E-net.
Nous avons observé deux constats assez frappants : Certaines entreprises wallonnes prennent l’initiative de grandir mais, ensuite, elles font marche arrière ou échouent. La durée de vie des entreprises est de plus en plus courte. Voici quelques explications :
1. Certaines TPE / PME wallonnes prennent l’initiative de grandir, mais ensuite, elles font marche arrière ou échouent
Parmi nos clients, nous avons des entreprises qui explosent leurs performances grâce au digital (e-commerce, e-business, etc.). « De plus, dans l’e-commerce, nous constatons que la grande majorité du chiffre d’affaires est réalisé à l’étranger », indique Sacha Peiffer, spécialiste en e-commerce, IA et neuromarketing. Il ajoute : « Malheureusement, ces derniers mois, nous déplorons que de nombreux commerçants wallons font marche arrière en arrêtant leur activité. »
Il y a probablement plusieurs raisons à ce phénomène. En voici trois raisons issues des échanges avec nos Clients :
D’abord, nos organismes évoluent dans un monde VICA. Cela nécessite de la stratégie, de la structuration et une grande capacité d’adaptation. L’acronyme VICA signifie volatile, incertain, complexe et ambigu. « Volatile » car il y a une fréquence des changements ; « Incertain » car il y a un manque de clarté sur la situation présente et à venir à court terme ; « Complexe » car il existe une multiplicité de facteurs pour la prise de décision ; « Ambigu » car il y a un manque de clarté sur la signification d’un événement.
Photo d’illustrations lors d’un atelier de travail (De gauche à droite) avec Anne Barzin, Nicolas Pourbaix, Sophie Wilmès et Sacha Peiffer.
Ensuite, il y a une pénurie importante de main d’œuvre à un prix abordable. Le coût salarial est aussi trop élevé.
Pour finir, la Wallonie offre une panoplie de dispositifs pour aider les entreprises : Chèques Entreprises, programmes de digitalisation, cellule d’accompagnement, etc. La majeure partie des entreprises ne connaît pas ces dispositifs, tellement il y en a avec de multiples conditions. Lorsque l’entreprise souscrit à un dispositif, même si des efforts ont déjà été réalisés, cela reste encore un parcours du combattant pour obtenir l’accord de l’incitant financier ou le paiement de celui-ci, malgré le fait que l’entreprise réponde à toutes les conditions. De multiples demandes d’informations sont réclamées au niveau administratif, ce qui décourage l’entrepreneur. Bref, une simplification et une clarification des dispositifs est nécessaire pour soutenir les entreprises en Wallonie.
Photo d’illustrations lors d’un atelier de travail avec Vincent Le Cerf, docteur en Intelligence Artificielle de renommée internationale.
2. Des TPE / PME saines en difficulté, la durée de vie des entreprises est de plus en plus courte
Ces dernières années, mais surtout ces derniers mois, nous constatons un nombre de plus en plus important de clients en difficulté. Pourtant, ces entreprises étaient saines avant de se retrouver confrontées à ces difficultés. Nous avons l’impression qu’il y a un effet « domino ».
Cela ne fait que confirmer une tendance générale. Selon Bank Data, Standard and Poor’s et Stratix Consulting Group, en 1965, la durée de vie des entreprises était de 32 ans. En 2010, cette durée était de 17 ans, et ces dernières années, elle est de 12 ans. Cela signifie donc que la durée de vie des entreprises est de plus en plus courte.
D’après beaucoup d’observateurs, la raison majeure réside dans le changement de paradigme que nous vivons. « Les crises à répétition, le changement des préférences des consommateurs, les changements de réglementations, la mondialisation, la concurrence accrue, les innovations technologiques... complexifient la pérennité et la croissance durables des organismes », explique Nicolas Pourbaix, fondateur d'E-net. et spécialiste de la stratégie NTIC, IA & neuromarketing. Il complète: « Le monde économique se développe dans ce monde VICA. Depuis la crise du COVID-19, il y a une accélération de ce changement de paradigme. J’ai la conviction que, depuis 2023, la popularisation des intelligences artificielles conversationnelles et génératives, entre autres, donnent un nouveau coup d’accélérateur à ce changement de paradigme : la productivité, notre rapport au travail, l'innovation et nos relations sociales... ».
Photo d’illustrations lors d’un atelier de travail avec des entrepreneurs wallons et David Clarinval
Les défis à relever sont nombreux : désinformation, cybersécurité, connectivité, dominance des GAFAM, création de leader européen de demain, santé mentale, innovation technologique (impacts écologiques et sur les modèles économiques), transition des métiers.
Pour apporter nos pistes de solutions concrètes afin de relever ces défis, un travail colossal a déjà été réalisé par les équipes d'E-net., des dizaines de spécialistes du monde de la santé, de la technologie et de l'éducation, ainsi que par des leaders visionnaires et influents capables de transformer des visions en réalité. Georges-Louis Bouchez, Président du MR, et Maxime Prévot, Président des Engagés, ainsi que les autres partis politiques (ECOLO, DéFi, PS et PTB), ont été partie prenante de la démarche.
Plus d’infos : https://www.e-net.be/10-contributions
3 nouvelles solutions proposées par E-net.
Dans un monde marqué par la volatilité, l'incertitude, la complexité et l'ambiguïté (VICA) avec un niveau d’endettement élevé de la Wallonie, il est crucial de repenser nos stratégies de soutien aux entreprises en Wallonie. En complément aux 10 contributions qui avaient déjà été évaluées, nous apportons 3 nouvelles solutions complémentaires :
1. La diminution drastique des subsides avec une simplification administrative et structurelle et une vraie culture de l’évaluation
L'objectif principal d'un subside est de fournir un soutien financier pour encourager certaines orientations politiques. Des subsides trop importants provoquent une distorsion du marché (Favoriser certaines entreprises ou industries au détriment d'autres), de la dépendance (Les bénéficiaires de subsides peuvent devenir dépendants de ces aides financières. En Wallonie, cette mentalité est assez visible), du déficit budgétaire, de l’effet d’aubaine, de l’inflation « artificielle » sur les prix des services ou produits concernés par le subside,… jusqu’à une sous-performance économique. En effet, en maintenant des entreprises inefficaces en activité grâce aux subsides, cela peut freiner l'évolution économique et la restructuration nécessaire de certains secteurs.
Comme solution, nous proposons concrètement soit de faire passer le Chèque Entreprise actuellement plafonné à 75 % à 40 % et faire passer le Chèque Entreprise actuellement plafonné à 50 % à 30 %.
ou soit de se baser sur le modèle flamand (KMO-Portefeuille). Les PME reçoivent un soutien financier par le biais du KMO-portefeuille pour l'achat de formations ou de services de conseil qui améliorent la qualité de votre entreprise. Les petites entreprises reçoivent une aide de 30 %, et une entreprise moyenne de 20 %. Pourquoi ne pas uniformiser le modèle wallon sur la Flandre ?
Outre le fait de réduire le déficit budgétaire, nous pensons que cela encouragera les entreprises et les industries à devenir plus compétitives et innovantes. En « échange » de cette baisse de taux, le Gouvernement pourrait enjoindre l’administration de traiter ces aides de manière plus rapide et moins tatillonne, en évitant autant que possible les demandes de renseignements complémentaires excessives. La réduction du taux pourrait être ainsi compensée par une plus grande automaticité et rapidité du soutien régional. Les risques de fraude ou d’abus sont de toute façon plus faibles dans un contexte où le taux de subvention est plus faible.
Par ailleurs, l'Agence du Numérique (AdN - Digital Wallonia) se présente comme "l'incarnation de l'ambition numérique de la Wallonie". L'AdN dispose de programmes de financement, tels que Start IA, avec un plafond de 5 000 €, dont 70 % subventionnés, et Tremplin IA, avec un plafond de 28 000 €, dont 70 % financés. Il y a également des appels à projets.
Wallonie Entreprendre dispose de l'expertise Digital & Deeptech / W.IN.G. Ce département se présente comme suit : "Nous mettons l'accent sur les innovations et les technologies disruptives telles que l'intelligence artificielle, l'internet des objets, les logiciels SaaS, la technologie de la blockchain, les medtechs ou la réalité augmentée."
Dans les deux institutions (l'Agence du Numérique et Wallonie Entreprendre), il y a des experts du numérique et des expertises qui se chevauchent.
Les chèques-entreprises sont des incitants financiers dédiés à soutenir la création d'activités, l'innovation, l'économie circulaire et la croissance des entreprises wallonnes. L'objectif des chèques-entreprises est de créer un guichet unique pour les entreprises. Le chevauchement d’incitants financiers à l'Agence du Numérique et aux Chèques Entreprises crée de la confusion auprès des Clients. De plus, les conditions et les plafonds sont différents.
Aujourd’hui, il y a une dispersion des ressources financières en matière de recherche et développement autour du numérique sur 13 pôles différents.
Comme solutions, nous proposons concrètement de rassembler l'expertise des NTIC au service des entreprises auprès d'une seule institution avec une vraie culture de l’évaluation via des KPI, des indicateurs de performance.
Nous proposons également que l'ensemble des incitants financiers soient regroupés dans le guichet unique comme celui des chèques-entreprises.
Par l’évaluation via des indicateurs de performance (KPI), nous entendons d’évaluer les réelles retombées des actions publiques. Le nombre de participants à un événement n’est pas un indicateur de performance qui évalue des retombées. Par contre, le nombre d’emplois créés ou l’augmentation de la valeur ajoutée (CA, rentabilité,…) sont des vrais KPI.
En ce qui concerne les 13 pôles de recherche et développement autour du numérique, ne faudrait-il pas s’inspirer du modèle Flamand avec un pôle (Nommé IMEC) ?
Outre la réduction du déficit budgétaire en diminuant les frais de fonctionnement, nous pensons que cela va faciliter la vie des entreprises en maintenant la volonté première : la création de guichets uniques. Par ailleurs, le fait de tout rassembler dans une même institution va garantir une cohérence sur les politiques menées ainsi que l’évaluation des réelles retombées (Via KPI comme le nombre d’emplois, la croissance du CA ou la valeur ajoutée grâce aux NTIC) et la communication associée à celles-ci.
2. La rationalisation des offres formatives « NTIC, IA & consorts » pour qu’elles soient plus efficientes tout en réalisant des économies en Wallonie grâce à un partenariat « Public – Privé » fort et transparent
Aujourd'hui, il existe une multitude d'offres de formations « NTIC, IA & consorts » pour les entreprises.
Le secteur public propose des formations en "NTIC, IA & consorts" destinées aux entreprises.
A l’époque, le rôle des pouvoirs publics était important car le numérique était un nouvel usage innovant où le secteur privé ne proposait rien de qualitatif.
Depuis une dizaine d’années toutefois, le secteur privé a développé une offre de plus en plus élaborée. Par exemple, le secteur privé propose des formations de sensibilisation autour des "NTIC, IA & consorts" à moins de 100 € par participant, et des formations "NTIC, IA & consorts" à moins de 300 € soutenues par l'incitant financier des Chèques-Formations (Un subside de 15 € par heure de formation).
Actuellement, des acteurs publics continuent, comme auparavant, à organiser eux-mêmes des ateliers et des formations, donc de plus en plus en concurrence avec le secteur privé, en diffusant même massivement des publicités sur Facebook et Instagram pour attirer des entreprises. Et cela, souvent en proposant ces activités formatives de façon gratuite alors que le secteur privé ne peut faire de même sans prester à perte. D'après les chiffres à notre disposition, ce genre d'actions en Wallonie coûte plusieurs millions d’euro (Entre 500 € à 3 500 € par participant). Pour finir, ces formations souvent gratuites n’aident pas à responsabiliser les entreprises et les participants.
Aujourd’hui, on constate que des fédérations professionnelles reçoivent aussi massivement de l’argent public pour proposer des services réservés à leurs membres et parfois même gratuitement, y compris de la consultance et des réalisations web. D'après les chiffres à notre disposition, on parle de plus de 1,5M€ d’euro supplémentaire. Le secteur privé dispose pourtant d’offres commerciales de qualité et avantageuses.
De plus, les critères de sélection des entreprises qui peuvent bénéficier de ces programmes d’accompagnement gratuits ne sont pas assez transparents. La Fédération du web (FEWEB) avait déjà interpellé. C’est exactement la même chose en ce qui concerne la mise en avant de prestataires privés plutôt que d’autres via les canaux de diffusion publics.
La coexistence d'offres formatives en "NTIC, IA & consorts", programmes d’accompagnement, destinés aux entreprises, proposés par les secteurs public et privé, occasionne des coûts colossaux pour le budget wallon (d'après nos informations, plusieurs millions d'euros par an – En 2024, juste le budget pour la promotion et la sensibilisation au numérique représenterait plus de 22 millions d’euros sur plus de 50 actions « un peu dans tous les sens » avec du saupoudrage et très peu de connexions étroites avec le terrain).
Cela crée le risque de cercle vicieux : manque d'efficience, concurrence déloyale, dispersion des ressources, confusion, redondance, manque de spécialisation, etc.
Le Chèque-Formation offre une aide financière pour la formation des travailleurs dans des centres agréés, avec un chèque d’une valeur de 30 euros représentant 1 heure de formation par travailleur. Le fonctionnement est simple : l'entreprise contribue à hauteur de 15 euros par Chèque, tandis que la Wallonie prend en charge les 15 euros restants. Actuellement, modifier le programme d'une formation thématique « Chèque-Formation » s'avère être un processus lent, onéreux et complexe.
Dans le cadre des études, il y a parfois des redondances constatées, rendant difficile la perception de la valeur ajoutée. Voici des exemples concrets : une étude wallonne sur les impacts environnementaux et climatiques des outils numériques a été réalisée alors qu'une autre existe déjà en Belgique. Une autre étude sur l’e-commerce wallon a été réalisée alors qu'une étude semblable, voire plus détaillée, avait déjà été publiée au niveau fédéral, ainsi qu'un ouvrage de sensibilisation sur la cybersécurité… D'après nos informations, c’est un peu plus d’un demi-million d'euros de dépenses redondantes qui vient s’ajouter.
Comme solutions, nous proposons d’abord de clarifier le rôle du public pour augmenter les synergies avec le secteur privé. Ensuite, nous imaginons l’appui des centres de formation en "NTIC, IA & consorts" du secteur privé en créant plus de synergies pour la promotion de ces formations via les canaux de communication publics. Nous pensons que plus de transparence sur les conditions d’un partenariat « Public – Privé » aideraient à mieux collaborer. En ce qui concerne les Chèques formations, nous suggérons de s’appuyer sur des référentiels « NTIC, IA & consorts » plutôt que des thématiques de formations. Cela augmentera l’agilité. Pour finir, afin d’éviter la redondance et le gaspillage d’argent public, peut-être faudrait-il favoriser la communication entre les acteurs du numérique de Wallonie et les autres acteurs (Fédéral, Flandre,…) ?
Outre la réduction du déficit budgétaire, nous pensons que cela devrait augmenter les synergies entre tous les acteurs en favorisant de véritables partenariats public-privé tout en encourageant la participation entrepreneuriale active sur le terrain.
3. Ce monde VICA nécessite d’adopter une vision stratégique bien plus large que l’IA en y intégrant l’écologie, les nouveaux modèles économiques et d’organisation. L’éducation, la pédagogie, la coopération en seront la clé pour créer de la cohérence et de la cohésion à tous les niveaux !
D’après un nouvel article du Fonds Monétaire International (FMI) publié en janvier 2024, l’IA transformera l’économie mondiale. Pour réussir une transition au bénéfice de tous, à nos yeux, il faut d’abord une vision stratégique bien plus large où la technologie (y compris l’IA), l’écologie (y compris la RSE), les modèles économiques et les modes d'organisation sont intégrés au même niveau et de façon transversale.
Comme solution, nous proposons concrètement de créer un réseau consultatif de haut niveau composé d’experts – praticiens - entrepreneurs ayant bien compris les changements de paradigme provoqués par ce monde VICA ainsi que les enjeux en matière d'innovations technologiques (Y compris l’IA), l’écologique (Y compris la RSE), les modèles économiques et les modes d'organisation.
Nous proposons un réseau consultatif léger plutôt qu’une institution de plus. La mission de cet organe tournerait autour de 3 axes principaux :
- Imaginer et superviser des dispositifs transversaux liés aux enjeux V.I.C.A. et technologiques (y compris l'IA), économiques & écologiques,
- Conseiller le gouvernement sur les orientations transversales,
- Soutenir dans la pédagogie (L’éducation) afin de maximiser la cohésion de toutes les parties prenantes et des citoyens et d’uniformiser les messages entre tous les acteurs.
En effet, nous sommes à un tournant important. Le train d’une nouvelle ère est en marche ! Le train de cette nouvelle ère s’accélère.
- Nous sommes convaincus que la Wallonie dispose de tous les leviers pour transformer ce constat en une belle opportunité!
- Nous sommes convaincus que les prochaines années seront marquées par d’énormes opportunités pour le redressement économique et social de la Wallonie… et des générations futures.
Quelques photos d’illustrations des ateliers de travail avec le MR et LES ENGAGES
Ces ateliers se sont déroulés entre le 29 septembre 2023 et le 10 avril 2024. Voici des photos d'illustrations:
Quelques mots sur E-net.
L’entreprise « E-net. » (NDLR : dénomination qui remplace E-net Business), née en 2002, est une agence de marketing & communication exploitant les dernières tendances digitales, les évolutions récentes des intelligences artificielles, ainsi que les avancées en neurosciences. Ce sont plus de 23 ans d’expérience aux côtés des indépendants, des commerçants, des professions libérales, des PME, des Grandes Entreprises, des associations & des institutions. Plus de 3 000 Clients font appel aux services d’E-net. avec une satisfaction qui dépasse les 98 %. Ces performances ne sont atteignables que grâce à l’implication de plus de 35 experts épanouis.
E-net. dispose de son propre centre d’éducation sur les compétences digitales qui propose un accompagnement en transition des métiers 4.0 via divers canaux de diffusion à un large public (Formation inter-intra, assistance e-learning, workshop, coaching, E-net. Club,…) à l’aide d’un outil scientifique prédictif belge basé sur les avancées de la neuroscience nommé P-Quid. Cet outil permet d’aider dans l’épanouissement des collaborateurs, de favoriser le bien-être et de prévenir le burn out. E-net. investit massivement dans son propre centre de R&D sur les dernières avancées technologiques, les intelligences artificielles, les neurosciences ainsi que l’impact économique et sociétal.
Avis des internautes
Réagir à la page : « Nouvelles propositions de solutions lors du groupe de travail "Digital et numérique" autour de Georges-Louis Bouchez et Maxime Prévot » ? Votre avis nous intéresse. Envoyez votre commentaire à l’aide du formulaire ci-dessous. Notre webmaster modère en permanence ce site Internet. Pour vous aider à vous forger une opinion, plusieurs outils sont à votre disposition : la cotation par étoile, le commentaire des internautes et les avis vérifiés. Partagez votre opinion avec l’ensemble des visiteurs de ce site : Ecrire un avis
Réagir à l'article : « Nouvelles propositions de solutions lors du groupe de travail "Digital et numérique" autour de Georges-Louis Bouchez et Maxime Prévot » ? Votre avis nous intéresse. Envoyez votre commentaire grâce au formulaire ci-dessous. Notre webmaster modère en permanence ce site Internet. En un clic, vous pouvez partager ce sujet avec vos amis Facebook ou vos followers sur Twitter. Merci pour votre participation. Tout commentaire est modéré avant publication.